Depuis plus de cent ans, la Société Générale, une banque française, opère en Afrique,
offrant une vaste gamme de services bancaires et financiers aux particuliers et aux
entreprises dans plusieurs pays du continent.
Elle propose des comptes bancaires, des prêts, des cartes de crédit, des solutions de
paiement, des produits d’investissement ainsi que des services de banque d’investissement.
En plus de ses activités commerciales, la Société Générale s’engage dans des projets
sociaux, éducatifs et environnementaux, visant à améliorer les conditions de vie des
populations locales, démontrant ainsi sa responsabilité sociale.
Récemment, la Société Générale a annoncé la conclusion d’accords pour céder quatre de
ses filiales africaines à des groupes bancaires du continent. Cette décision stratégique
implique la vente totale des parts détenues par la Société Générale dans ses filiales locales
en Afrique, à savoir la Société Générale Congo, la Société Générale de Banques en Guinée
Équatoriale, la Société Générale Mauritanie et la Société Générale Tchad.
Dans le cadre de ces accords, les groupes bancaires panafricains Vista et Coris prendront
en charge l’ensemble des activités actuellement menées par la Société Générale dans ces
pays, ainsi que les portefeuilles clients existants et tous les employés travaillant au sein de
ces entités.
Cette décision reflète la volonté de la Société Générale de se concentrer sur les marchés où
elle peut jouer un rôle majeur et apporter une réelle valeur ajoutée en collaboration avec ses
autres activités.
Le groupe bancaire français exprime sa confiance dans les capacités des groupes Vista et
Coris à poursuivre le développement de ces filiales, dans l’intérêt des clients, des
partenaires, des employés et des économies locales concernées.
La Société Générale est réputée pour sa capacité à allier les connaissances et le savoir-faire
d’une banque internationale à la proximité d’une banque locale ancrée localement.
Si les cessions de ses filiales se concrétisent, elles pourraient d’une part, avoir un impact
positif d’environ 5 points de base sur le ratio CET1 (ratio de solvabilité) du groupe et d’autre
part, contribuer à la consolidation du secteur bancaire africain, renforcer la stabilité financière
des pays concernés, favoriser le transfert de savoir-faire, assurer la continuité des services
financiers et renforcer la position financière.
Cependant, il est important de noter que les impacts réels dépendront de la manière dont les
acquisitions sont mises en œuvre par les nouveaux propriétaires et de la façon dont ils
gèrent ces filiales à l’avenir.